DERRIERE LE MIROIR.

bigbang,

 Le mot ne correspond pas à ce que la science nous donne comme informations, l'idée d'une explosion est fausse, on ne doit même pas parler de l'instant ou l'évènement s'est produit, puisque le temps n'existait pas encore.

Il y avait un avant le temps et un avant d'espace puisque l'un ne va pas sans l'autre. Enfin quand on arrive vraiment à donner vie au concept, on pourra se dire que, que toutes ces explications n'ont une valeur que dans la réalité que nous avons crée. On pourrait tenter de répondre à cette question : " quel était votre visage, avant la naissance de vos parents ?

On peut tenter de répondre à cette question : l'univers avait-il un visage avant le big-bang? ,

Cela peut dépendre en fait de quel univers nous parlons ou à quel parent nous faisons allusion.

Nous-mêmes vivons actuellement dans un univers réel fait d'espace et de temps, soit d'un univers à quatre dimensions, et nous ne pouvons en imaginer, un autre, de la même façon que notre mémoire familiale et collective ne peut remonter qu’à quelques générations.

Et pourtant l'histoire de l'humanité est infiniment plus ancienne, n'en serait-il pas de même avec l’univers dans lequel nous vivons, l’univers avant le big-bang : Il est paradoxal de réaliser que cette question inhérente à l'intuition de l’homme, n'a pourtant atteint le monde scientifique que récemment.

Depuis quelques temps, une nouvelle hypothèse à été émise, basée sur les théories des supers cordes qui est à l'heure actuelle, la seule théorie globale de la physique réunissant à la fois physique quantique et relativité générale.

Au lieu que le big-bang soit l'instant unique à partir duquel tout est apparu, il serait seulement une étape dans l'évolution d'un univers infiniment plus immense. Cette bulle d'espace temps qui aurait gonflé dans une région chaotique d'un univers préhistorique immense, froid et vide de matière peuplé uniquement d'ondes véhiculant de l'énergie.

De semblables bulles d'espace temps pourraient être innombrables, ayant donné naissance à des multitudes d'univers différents du notre, toujours diffèrent très probablement, puisque les constances fondamentales seraient différentes.

Les bulles sont générées par un chevauchement, une superposition locale des ondes gravitationnelles peuplant cette vacuité. A l'endroit de cette concentration, l'espace temps se condense, en fait s'effondre à la manière d'un trou noir, ainsi la plupart des bulles sont trop petites et disparaissent instantanément.

Notre univers réel "le notre " pourrait provenir d'une de ces bulles microscopique d'espace temps. Pour cela sa taille dut atteindre au moins un centième de milliardième de millimètre, elle dut également grossir ensuite de façon extrêmement rapide jusqu'au diamètre d'un cheveu, dégageant une chaleur intense lors de son inflation.  La température dut atteindre un nombre de degrés égal à 10 suivis de 31 zéros.

Cette bulle contenant une énergie énorme, matière et énergie étant équivalente, E=mc2 s'est remplie de toutes sortes de particules, voilà le visage, un des visages du BIG-BANG.

Notre univers réel subira dés lors cette inexorable expansion qui le conduira au monde que nous connaissons aujourd’hui. Nous mêmes ne pourrons connaître à jamais que notre propre bulle, ce qui n'exclut pas qu'il y est d'autres univers séparés du notre par des distances infinies, comprenant d'autres dimensions, constitués d'autre matière, dans lesquels nos lois physiques n'existent pas et ou nous mourrions instantanément.

Tout dépend de la grosseur originelle de la bulle d'espace temps surgie du vide. Ainsi l'être humain ne peut connaître ou appréhender que l'univers dans lequel il vit, qui a généré ses propres atomes et ses propres cellules, comme celles de son cerveau par exemple. Cela ne l'empêche pas de suspecter que son univers réel n'est pas unique bien qu'en fait pour lui-même, il le soit.

Les autres univers lui sont à jamais, en ce sens le sien est unique, inconnus. La philosophie a été très discrète sur le sujet , ces trente dernières années , dépassée par la science triomphante , mais depuis la théorie des cordes et la théorie M , elle est la discipline qui peut donner du concept à ces étranges petits monstres , inventés , crée par le cerveau de savants , mais surtout avec le concours des mathématiques , enfin reconnues comme "lois universelles .

Il reste à démontrer qu'il n'y a pas détournement, par l'intelligence créatrice de l'être humain qui à la faculté de nous entraîner dans l’irrationnel, ce qu'il y a dans le concept, n'est que le produit, la synthèse de dame réaliste qui s'est construite à travers les âges.

Phénomènes ou réalité contingente à la dimension choisie par madame la vie, qui avait des contraintes, certaines, nées dans la fosse Australienne ? Dans le passé de notre histoire lointaine .L'irrationnel est apparu à chaque fois que nous n'avons pu comprendre, conceptualiser nos découvertes, nous ne sommes peut être pas vraiment prêt a franchir l'étape de la supra conscience.

Ces entités issues des mathématiques et livrées à l'état brut...en sont le reflet, on commence vraiment a donner un statut à part aux mathématiques, qui seraient l'essence première. (Prendre cette assertion au deuxième degré et lui donner un sens en tout cas quand on plonge dans le monde vibratoire des super-cordes on en revient à la pensée de nos ancêtre, très lointains .Ils n'avaient que l'intuition des nombres comme système) Toutes ces bizarreries, on peut les retrouver aussi bien dans la compréhension et l'étude de la formation des structures de l’univers, puis en examinant ce que sont les particules virtuelles un aspect étrange et mystérieux de la mécanique quantique et aussi, il y a cette histoire d'univers parallèles, tous ces sujets sont consistants.

Pour comprendre les phénomènes qui se sont produits durant le bige bang, il nous faut encore faire connaissance avec un autre aspect étrange de la mécanique quantique. Nous avons déjà vu que la position et la vitesse d'une particule sont affectées par le principe d’incertitude, qui énonce que ces deux grandeurs ne peuvent être déterminées simultanément avec une précision arbitraire. En fait le même principe s'applique à l'énergie et au temps. Il n'est pas possible de connaître exactement l’énergie, mise en jeu dans un processus quantique et la durée de celui-ci La encore.

Il ne s'agit pas d'un problème technologique. Mais d'une propriété intime de la matière.

Ce principe a de grandes conséquences sur toute la physique microscopique. Si l'énergie est soumise à une incertitude, cela signifie qu'elle n'est pas fixée de manière rigoureuse, contrairement à ce que la physique classique énonce. Ainsi , de l'énergie peut apparaître ou disparaître , à condition toutefois que cela se fasse dans un temps bien limité , déterminé par le principe d'incertitude. Or d'après la relativité, l'énergie est équivalente à la masse.*

La mécanique quantique nous apprend donc que de la masse peut apparaître à partir de rien, exister pendant une durée très brève, puis disparaître. On peut par exemple, calculer qu'un électron peut surgir du néant, vivre (très peu de temps) avant d'y retourner. Cette possibilité de création et de disparition de matière change profondément notre vision microscopique.

La notion du vide en est tout particulièrement affectée. En effet, le principe d'incertitude implique que même le vide le plus absolu est en fait peuplé d'une myriade de particules et d'antiparticules virtuelles. Le vide, au sens ou on l'entend d’habitude, c'est à dire l'absence de toute matière, n'existe donc pas.

Même lors de la naissance de l’univers, lorsque la matière n'existait pas encore, l'univers était agité d'une succession frénétique de créations et de disparitions de tous les types. au niveau subatomique . Il est étrange et difficile d'admettre qu'il y a frénésie de particules , apparitions et disparitions comme si , celles -ci avaient plusieurs univers à exister et là  l'esprit s'emballe , parce qu'après tout , notre conscience fonctionne , elle aussi avec " de la particule " , nous sommes un peu de tout ce grand . C'est d'ailleurs grâce à cela que la matière ordinaire pourra faire son apparition, là il s'agissait de comprendre ce que sont les particules virtuelles dans l'univers , ensuite l'on peut tenter de faire un tour vers la formation des structures de l'univers, mais avant il faut comprendre la notion d'univers parallèles qui permettrait de réinterpréter le problème de la sélection des constances fondamentales.  Au moment de sa naissance, l'univers est confronté à de nombreux choix.

Il doit par exemple décider de la valeur de la constance de gravitation ou de la masse de l'électron .D'après la théorie de Hugh Everett, l'univers se divise lors de chacun de ces choix .Naissent ainsi une multitude d'univers parallèles, caractérisés chacun par un ensemble donné de constances fondamentales. La grande majorité d de ces univers est incapable de donner naissance à la vie. Certains sont dotés d'une force de gravitation trop intense ou d'une interaction électromagnétique trop faible et ainsi de suite.

Néanmoins une petite fraction de ces univers se révèle apte au développement de la vie, c'est en particulier le cas du notre.

En adoptant, ce point de vue, le réglage des constances fondamentales n'a plus rien de miraculeux .La vie n'est pas née car notre univers unique était réglé de façon magique. Elle est apparue car nous sommes dans l'un des rares univers parallèles capables de lui donner naissance .Nul besoin de s'inventer des petits hommes verts, ni de civilisations extra-terrestres, nous ne trouverons jamais d’humain, a la limite une civilisation dans un univers gros comme une tète d'épingle et la probabilité est très faibles, obligatoirement les constances sont différentes.

A travers ce scénario, probable, il y a une un quelque chose qui attire mon attention...de même que les constances fondamentales ont trouvées leur réglages dans l'infini des possibles, il semblerait que l'origine de la vie puis son évolution aient suivi le même chemin. Pensez au règne de l'Diawara....en Australie...cette faune " appelée Diawara parce que découverte dans ce pays.

Datée de - 565 millions d'années cette période fait suite à une grande extinction ou la vie aurait pu disparaître. Cette faune très riche portait en elle "tous les possibles " de vie capable pour certain de s'adapter aux nouvelles conditions climatiques comme si, un processus réglait " non pas des constances, mais des paramètres déterminés par le choix des tout possibles, mais unique pour ce contingent de critères définies par le climat de la terre.

On était parti sur l'idée d'univers parallèles fait a notre image, oh pardon ressemblant à notre univers, mais la théorie des cordes et surtout la théorie M nous en parle mais plutôt comme des entités es de l'infiniment petit des cordes non ouvertes. Du vide qui n'est pas du vide des univers parallèles qui n'en sont pas, de la matière qui n'est pas de la matière, voilà le monde étrange qui est le notre.

La science ne parviendra pas à donner une image réelle, à notre pauvre conscience qui porte le poids de trois mille ans d’ignorance, notre intelligence est limitée, par un mur, encore un, il ne s'agit pas du mur de Planck, mais d'un mur liée à notre condition.

Parce que si les mathématiques offrent l'odeur de la vrai réalité , nous sommes incapable de faire une traduction vrai , oui nous ferons du concept qui ira avec le reste , peut-être , un peu plus ajusté , mais rien de la vérité ultime , qui nous est pour toujours interdite.

A force de chercher , on pourra de temps en temps (les jours de fête ) appréhender un peu cet inconnu , ce graal qui nous est interdit , pour ce faire il faut détruire le monde de certitudes , intégrer totalement qu'il faut mourir à chaque instant , pour arriver à faire un avec ce que l'on nomme univers , là ou voici près de 15 milliards d'années , tout était en un , l'expression fulgurante de ce qui est , plutôt que rien , fait que chaque partie , dans l'infiniment petit reste connectée.

C'est de ce monde étrange et inconnu que viennent, tous ces bizarreries que les sublimés des neurones attribuent à Dieu  et à ses saints, ce monde nous est inconnu, c'est tout, rien de divin et fait parti intégrante de nous même puisque nous sommes l'histoire de ce que nous appelons univers. Il semble également que notre visage, bien avant la naissance de nos parents ou de l’humanité, vienne de vraiment très loin.

Il semble que nous devons percevoir une " infinité " bien plus immense dans nos recherches globales en unifiant les mondes quantiques, propre à l'infiniment petit, et cosmologique, de l'infiniment grand. Ainsi l'être humain ne peut connaître ou appréhender que l'univers dans lequel il vit, qui à généré ses propres atomes, ses propres cellules, comme celles de son cerveau par exemple. Cela ne l'empêche pas de pouvoir suspecter que son univers réel n'est pas unique, bien qu'en fait pour lui-même, il le soit, les autres univers, lui sont à jamais inconnus en ce sens le sien est unique.

Il y a ceux qui se plaignent , du temps qu'il fait , que les spoutniks , les avions , c'est pas bon et ils disent bend'iou , voilà maintenant qu'ils nous font d'autres ciel , d'autres mondes , des multi univers , qu'est c'est qui , qu'on va devenir.

Je reviens dans mes délires cosmologiques.

Là il s'agit de la cosmologie moderne, les théories scientifiques fournissent à l'imaginaire populaire les éléments d'une cosmologie moderne. La cosmologie fournit les théories décrivant l'évolution de l’univers, notamment la théorie du bigbang que je viens de décrire à ma manière .Les théories ne fournissent pas toutes les réponses.

Par exemple la théorie du big-bang permet de remonter vers l'origine de l’univers, mais bute sur une singularité mathématique à l'instant zéro, les distances tendant vers le zéro et la température et la pression vers l’infini. La plupart des physiciens pensent que ce problème révèle notre compréhension limitée des lois de la nature. Mythes et création de monde. L'être humain a été relativement constant dans son imaginaire. Avant tout faut bien comprendre, que : dans toutes ces cultures ancestrales... il n'y avait qu'une très petite partie d’humains, qui avait accès aux mythes et aux savoirs. L’œuf : (l'œuf cosmique).

Il est souvent représenté comme le germe contenant l'univers en puissance. Il symbolise la rénovation périodique de la nature, la possibilité de renaissance du monde. L'éclosion de l'œuf donne naissance à l'univers (la Chine, les Celtes, l’Inde, et le Mali).

L'eau : symbole de pureté, l'eau est souvent exprimée par le biais du déluge. Le déluge se retrouve dans de nombreuses cosmogonies, il rappelle à l'homme sa faiblesse face aux puissances célestes et permet le renouvellement du monde grâce aux meilleurs des humains. Le chaos primordial, la naissance d'un monde harmonieux est souvent la résultante de conflits entre forces antagonistes, l'ordre et le désordre.

Cependant dans la théogonie d'Hésiode le chaos originel n'est pas un ensemble en conflit avec l’ordre, mais plutôt une entité renfermant l'ensemble des éléments à venir, mais là l'on ne peut pas vraiment parler de mythe parce que ce "savoir" était vraiment entre les mains de quelques uns, dans d'autres cosmologies traditionnelles, les créateurs sont un ou des Dieux, anthropomorphes qui génèrent l'univers et l'homme par la parole, le geste. Dans les sociétés actuelles la cosmologie moderne à remplacé les Dieux par les lois de la physique et de la chimie et tente de dépasser les principes anthropomorphiques des mythes traditionnels. Cosmogonie, judéo-chrétienne.

Dans la genèse biblique,, Dieu   crée l'univers en sept jours par le verbe. La bible indique clairement qu'avant ce geste créateur, il n'y avait qu'une forme de chaos, comparable à celui des Grecs " la terre était déserte et vide, et les ténèbres à la surface de l'abîme " On remarquera que le  de la bible est extérieur au monde qu'il crée et que cette création se fait se fait "sans bris de membre " (la bible). Là est son originalité au regard de l’autre cosmogonie.

Cosmogonie de l'Egypte antique.

La cosmogonie varie en fonction de la région et les Dieux ont souvent les rôles les plus importants. A Héliopolis : Issu de Noum , l'océan primordial, émerge Ré qui est à la fois le soleil, Atoum , l'être achevé ou encore Khepri la renaissance. En se masturbant, il met au monde Shou le sec .De son crachat naît Tefnout , l’humide. De ce couple en naît un autre Nout , le ciel Geb , la terre que leur père sépare en levant les bras.

Viennent ensuite Osiris et Isis , Seth et Nephtys . Le premier couple symbolise le renouveau végétal et avec eux vient la légende d’Osiris alors que le second est stérile, c'est ça la création heliopolitaine.En haute Egypte, Amon père des Dieux fondateurs du monde, féconda l'œuf cosmique d'ou naquit toute vie. Cosmogonie mésopotamienne.

Les mythes de la création d'origine sumérienne mettent en scène deux êtres primordiaux : l'un féminin, Tiamat l'au salée et l'autre masculin, Apsu , l'eau douce. De leur union naissent tous les Dieux, dont les principaux sont : Enlil , Enki , Ea , Ishtar , Marduk , mais aussi les Dieux dominants, Annunaki , qui exploitent les Dieux Igigi en les faisant travailler durement afin de nourrir tous les Dieux. La voûte céleste, les étoiles, la terre, les enfers...furent formés du cadavre de Tiamat , au terme d'une guerre gagné par Marduk .

Puis l'homme fut crée à son tour pour servir les Dieux lorsque les Igigi se révoltèrent contre les Annunaki . L'homme fut façonné à partir d'argile trempée dans la chair et le sang d'un  Dieu  sacrifié, donnant ainsi à la créature un peu d'intelligence divine. Des cosmogonies, il y en a bien d’autres, la cosmogonie scandinave, celle des aborigènes d'Australie et. Il y a une cosmogonie qui a depuis longtemps attiré mon attention, c'est celle Hindoue. Le temps est vu de manière cyclique ; il existe donc un cycle de créations et de destructions. Lorsque Brahma se réveille et qu'il ouvre les yeux, l'univers et tout ce qu'il contient se crée, lorsqu'il s'endort tout se détruit, Vishnou protège l’univers, Shiva le détruit et donc mène à la renaissance. L'univers connait donc une suite de naissances et de destructions.

Pour certaines sectes hindouistes, notre univers, n'est que le rêve de Dieu  une illusion : la MAYA.

Il est vrai que faire resurgir ces mythes à la suite de la cosmologie moderne est bien, trop consistant à lire, mais c'est une manière de démontrer que la pensée moderne est jeune, quelques siècles.

Jadis, quelques initiés avait un savoir pendant que la majorité restait ancré dans un système de pensée qui faisait d'eux des bêtes a Dieux ; des bêtes obéissantes et éventuellement prêtent à être sacrifiées, des bêtes au service de quelques uns.

Il semble vraiment que nous construisons notre réalité, nous élargissons notre conscience.

La conscience de notre époque n'a plus rien à voir avec celle, d'il y a 3000 ans, qui est restée, longtemps et pour le plus grand nombre, emmurée, plutôt confisquée, le mot convient beaucoup mieux, par les élites qui ont été jusqu'a faire penser le peuple avec des images plutôt qu'avec des mots.

Aujourd’hui plus de 7 milliards d'êtres humains ont accès aux savoirs, aux sciences et par là même : ont le pouvoir de participer à la construction de notre réalité. Horobindo